La fenêtre d’en face

Sept histoires à chute oscillent entre sentiment de « déjà vu » et drôles de disparitions.

A celles et ceux qui ont la nostalgie d’une époque où le réalisme fantastique éclairait l’un des angles mort de l’esprit humain, cette adaptation les réjouira certainement. D’autant plus, si les noms de Jacques Bergier et Louis Pauwels leur rappellent un matin où une certaine forme de magie a frappé à leur porte et provoqué un courant d’air frais salutaire, une fois celle-ci grande ouverte. En référence à l’extraordinaire Le Matin des Magiciens publié aux éditions Gallimard.

L’intention de l’adaptation de ces nouvelles fantastiques écrites dans les années ’70 par Henri Gougaud, est de l’inscrire dans la veine du réalisme fantastique en cherchant à mettre en pleine lumière la capacité phénoménale de la vie à passer à travers les murs, à bannir les frontières entre mondes visibles et invisibles jusqu’à dépasser le silence de la mort.
En accord avec l’auteur, des libertés ont été prise avec le texte de manière à pouvoir lancer des ponts entre les histoires et créer un ensemble cohérent.

Du point de vue de la technique, le choix s’est naturellement orienté vers la simplicité et la légèreté afin de pouvoir présenter La fenêtre d’en face partout où peuvent se tendre des oreilles.

L’ immense bonheur d’avoir travailler avec Henri sur ce projet lui confère un parfum particulier. Il m’a fait l’amitié d’y consacrer du temps et de l’attention en m’accompagnant tout au long du processus de création.
La fenêtre d’en face a vu le jour en 2016 après trois ans de tâtonnements, recherches et après plusieurs essais qui lui ont été profitables.

Ce spectacle est actuellement en sommeil.

Spectacle La Fenêtre d'en face - par Valérie Bienfaisant - Accompagnement artistique Henri Gougaud


Spectacle subventionné par le Ministère de la Culture, service d’aide à la création, Fédération Wallonie – Bruxelles.


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